Au début du mois de mai, notre coprésidente Anne-Catherine a partagé en tant que blogueuse invitée de CANU son expérience personnelle des dernières années alors qu'elle reprenait la tête de l'entreprise fondée par son père. À travers un texte coécrit avec Maxime Boilard, elle raconte entre autres comment elle a apporté sa couleur auprès de l'équipe de gestion, ainsi que les défis qu'elle a rencontrés. Trois moments déclencheurs sont à l'origine de l'implantation de la démarche CANU au sein de l'entreprise. Ce qui a débuté il y a deux ans par des ateliers mensuels réservés à l'équipe de gestion est aujourd'hui en 2023 étendu à l'ensemble des membres de l'équipe Topring. Le but : permettre à tous les employés de bénéficier à leur tour d'outils pour une meilleure connaissance de soi et de travailler vers un but commun, tout en prenant soin de leurs relations avec les gens qui leur sont chers. Un impact que l'entreprise espère fera son chemin au-delà de Topring.
« Avec le recul, je réalise que j'ai pris les grands moyens pour amener l'équipe de gestion de l'entreprise à explorer une autre approche. Cela m'a permis de faire ma place et d'aider d'autres personnes à faire la leur. Je suis pas mal fière de ça. C'est le propos de mon texte. » − Anne-Catherine, coprésidente
Qu'est-ce que CANU
Fondé en 2007 par l'ancien canoéiste olympique Maxime Boilard, CANU, qui s'inspire du mot « canoë » et de l'anglais « Can u? » (le pouvez-vous) est un service d'accompagnement aux organisations pour le développement des manières d'être ensemble afin de donner accès à l'intelligence collective qui part du coeur ou de la tête. À travers des conférences, des ateliers et des séances de coaching, Maxime utilise son expérience d'ancien athlète afin d'aider des experts à se mettre au service du bien commun. Parmi les expériences qu'il fait vivre à ses clients, ses simulations sur l'eau à bord de canoës sont vite devenues sa signature.
« C'est un extraordinaire outil de diagnostic organisationnel et humain. CANU s'est développé une réputation sur la base de cette expérience. Toutefois, quand se termine la journée sur l'eau, le travail ne fait que commencer parce que c'est beaucoup plus difficile de changer dans le quotidien que de se dire ce qu'on aimerait changer dans le quotidien. » Maxime Boilard, fondateur de CANU